L'Encyclopédie du Savoir en Vrac

Cher lecteur, bienvenue sur la Grande Encyclopédie du Savoir en Vrac.

Vous qui venez d'ouvrir ce topic avec la volonté de vous cultiver, vous êtes au bon endroit. Inspirée de la Rubrique-à-brac de Marcel Gotlib, cette encyclopédie se veut une apologie du gros QI, un véritable encensement de la complexité cérébrale. Je vous propose donc d'explorer les méandres de l'âme humaine dans tout ce qu'elle a de plus fonctionnel et théorique...(hum j'ai l'impression de m'enfoncer).

Depuis la découverte du feu jusqu'à l'invention du fil à couper le beurre, depuis le premier film porno jusqu'à la conquête de la lune, venez nous parler des quarks et autres outils électro-ménagers, à moins que vous préfériez nous livrer vos réflexions philosophiques et existencielles, les vôtres ou celles des autres stockées sur la Toile; ou bien même votre avis sur le supermarché de votre patelin...

Ce Temple de la Connaissance est un édifice qui ne demande qu'à monter, alors viens poser ta pierre pour contribuer à cultiver ton prochain. Dispense ton savoir sans retenue, sois prolifique, parlant, causant, volubile, éloquent, expressif, vivant, bavard, communicatif, expansif, disert!

Et pour ouvrir cette grande Encyclopédie du Savoir en Vrac, je vous propose un premier article, une page de notre Histoire sous forme de débat:

Socrate était-il une feignasse?


Socrate à l'apéro (non content de picoler, il fait un doigt d'honneur en plus).

Socrate est né 1534 ans avant les jeux olympiques d'Athènes, au même endroit. Son père était sculpteur, mais on ignore ce qu'il sculptait exactement. Quant à sa mère, elle exerçait la profession d'infirmière, mais d'après les documents que l'on possède sur les pratiques médicales de l'époque, elle aurait eu du mal à déccrocher un rôle dans "Urgences". A noter qu'elle sculptait elle aussi, à ses moments perdus, ce qui laisse à penser que c'était une infirmière très libérale.
L'oracle de Delphes, un type qui se cachait derrière une statue et racontait n'importe quoi en échange de quelque nourriture, déclare un jour que Socrate est le plus sage des hommes. Stupeur de l'intéressé qui commence par dire: "OOOOh l'autre! Mais non pas du tout!" puis qui réfléchit un peu et finit par déclarer: "Je ne sais rien de plus que les autres hommes, si ce n'est qu'ils croient savoir quelque chose et que je sais que je ne sais rien". (Un des plus prestigieux disciples socratiques, Jean Gabin, entreprend de mettre cette pensée en musique en 1974. Il écoulera 500 00 exemplaires de son 45 tours, "Maintenant je sais", preuve que l'enseignement de Socrate a su traverser les époques et trouver un écho favorables auprès des jeunes oreilles issues du baby boom).


Jean Gabin, le Socrate des temps modernes.

Fort de son savoir (c'est à dire: rien), Socrate commence, avec un courage qu'il faut saluer, à enseigner aux hommes leur ignorance. Ainsi, il va nu-pieds dans les rues d'Athènes, habillé comme un malpropre, pas rasé, pas lavé, tentant de convaincre tout un chacun qu'il ne sait rien du tout. Comment s'étonner après cela que les enfants lui lançe des pierres?
Au début on le laisse faire, car on le prend un peu en pitié. Mais peu à peu des bandes de jeunes désoeuvrés commence à s'intéresser à son enseignements, d'autant qu'il ne nécessite que très peu de facultés intellectuelles. (Socrate: "Les gars, faut savoir un truc, c'est que vous savez rien...", les gars: "Ouaiiiiiis!")
Arrive ce qu'il devait arriver: excédé par les bruits de mobylette qui pétaradent dans les rues endormies jusqu'à plus d'heures, les Athéniens se plaignent, le parti démocratique l'accuse de pervertir la jeunesse. En 399 Socrate est condamné à boire la cigüe. Au début, il n'est pas contre car il est persuadé qu'il s'agit d'une nouvelle boisson du genre "smart drink" dont raffole tant les jeunes. Il déchante lorsqu'on lui apprend que c'est en réalité du poison, destiné à le faire mourrir dans d'atroces souffrances.
Face à son manque d'entousiasme, la police athénienne menace de lui arracher les poils de sa barbe un par un s'il n'avale pas le liquide sur le champ. Un policier, plus gentil que les autres, lui propose de lui pincer le nez, car la cigüe sent très mauvais.
Socrate cesse donc de chouiner, boit le poison et meurt.
Le plus beau est que notre philosophe, durant sa longue vie, ne s'est pas donné la peine d'écrire une seule ligne. Du coup, ses propos proviennent exclusivement du bouche à oreille, de vagues "on dit" et de cancans athéniens, ce qui laisse un doute sur la véracité de leur contenu.
Si ça se trouve, il voulait pas dire ça. Peut-être qu'il a seulement dit: "Je sais tout" ou "Foutez-moi la paix avec vos âneries!" ou "J'adore les carottes rapées avec un filet de citron". Mais maintenant c'est trop tard.
Et j'ose le déclarer à la face du monde: "Tant pis pour toi, feignasse!"

P.S: bien que je sois fort marrie de l'avouer, cet article n'est point de moi (je conserve cependant le mérite des légendes). A vos crayons pour réagir à ce sujet.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------
Accessoirement, bien que ceci n'ait rien à voir avec le sujet, voici en exclu une photo de Cicis, qui pensait qu'elle allait rester privée en me la donnant sur MSN (grossière erreur!!):

Perso j'ai été fouiller du coté de Coluche et je vais en mettre quelques unes au cas ou tout le monde ne les connaîtrait pas.
Petites histoires, de vous ou non, lâchez-vous c'est fait pour.

«Le communisme, c’est une des seules maladies graves qu’on a pas expérimentées d’abord sur les animaux.» Coluche

«Combien il y a de gens qui travaillent à la Sécurité sociale ? Un sur quatre.»
Coluche

«Plus on est de fous, moins il y a de riz.» Coluche

«Mon psychiatre, pour quinze mille francs, il m'a débarrassé de ce que j'avais : quinze mille francs.» Coluche

«Le plus dur pour les hommes politiques, c’est d’avoir la mémoire qu’il faut pour se souvenir de ce qu’il ne faut pas dire.» Coluche

«"Bite" c'est un gros mot, même si c'est une petite.» Coluche

«La police, c'est un refuge pour les alcooliques qu'on n'a pas voulu à la SNCF et aux PTT.» Coluche

Voilà pour cette fois... Ho allez, une petite dernière...

«Il faut cueillir les cerises avec la queue. J'avais déjà du mal avec la main !» Coluche

La photo est un fake Vous voulez des preuves ? allez voir dans la section "en réalité" (quoique il est pas si moche le gars à part la barbe, la coupe de cheveux et la voiture )

ceci était un doublon supprimé.

Mééééheuuuu ! *Enfonse la tête de Darth dans son seau et tappe frénétiquement à coup de pelle dessus* Tiens ! méchante !

Bon voilà je passe pour ridicule avec mes citations, avec le paragraphe qu'elle a pondu ! Je te hais d'amour !
L'art de me faire passer pour un con, par Darth. Tu sais que tu pourrais écrire un bouquin ?

Allez c'est pas tout ça mais j'ai récupéré quelques blagues de Coluches (oui, encore ! Et j'vous emmerde ! Attendez demain y'aurra mieu, là il est tard et mon cerveau commence a me sortir par les oreilles.)

Mais comment tu fais, toi alors, avec les gonzesses ? Parce que toi tu les as toutes et moi j'en ai aucune ?
Écoute mon gars, j'vais te dire un truc, avec les gonzesses, il faut être ferme, définitif et faire savoir tout de suite que c'est toi le patron.
Une gonzesse, t'y file rencard, t'arrives en retard, t'y mets deux baffes pour qu'elle sache bien qui c'est qui commande.
Après ça, pendant toute la soirée, tu y parles pas. Et après, tu l'emmènes chez toi, elle se déshabille, elle se met au pieu
et toi tu te fais un frileux dans les waters et tu lui montres par là que t'es vraiment indépendant.

'Core une tite ? Non ? tant pis j'en remet une !

C'est une petite vieille qui trouve une fée, et la fée lui dit :
voilà, vous avez droit à trois voeux. Elle dit : voilà, ben c'est pas compliqué, je voudrais être belle.
Elle est magnifique !
Elle dit : voilà, je voudrais que mon tas de charbon se transforme en or.
Et son tas de charbon se transforme en or.
Et elle dit : maintenant, je voudrais que mon chat, qui est si affectueux, soit un beau garçon.
Et le chat devient un beau garçon et lui dit : tu vas regretter de m'avoir fait couper les couilles maintenant, hein ?

Allez je termine par quelques citations selectionnées en esperant vous tirer quelques sourires ou franches rigolades.

"Un alcoolique, c'est quelqu'un que vous n'aimez pas et qui boit autant que vous." (Y'en a qui vont se reconnaître )

"Gynécologue, c'est un métier accessible aux sourds. En effet il n'y a rien à entendre et on peut lire sur les lèvres."

"Quand vous voyez un flic dans la rue, c'est qu'y a pas de danger. S'il y avait du danger, le flic serait pas là."

"Je n'ai rien contre les étrangers. Le problème, c'est que d'une part, ils parlent pas français pour la plupart... Et selon le pays où on va, ils parlent pas le même étranger."

Heh, et bien... Bravo a vous deux pour ce sujet. En particulier Darth qui illumine ma journée webienne d'un savoir "relativement nul" mais carrément indispensable. Ma perception de l'antiquité en est boulversée ! Mais je remarque surtout l'écriture qui, si elle est pour toi aussi naturelle qu'elle semble l'être, ne peut que me rendre jaloux.

Pour Cicis, un petit ajout indispensable si on parle de coluche , tout aussi inutile, un peu gras mais si facile a placer :

" Vaut mieux etre leche-cul, que suspect."

Autre petit ajout :

http://ctrlaltdel-online.com/comic.php

Pas toujours excellent mais comment rester insensible a la stupidité d'Ethan ?

T'as vu ça? Mais bon je crois que nous ne courrons pas dans la même catégorie, moi je peu à peine citer ou être drôle vite fait. Mais ça reste loin de ce que Darth est capable de faire. En même temps il me faudrait plus de culture et plus de vocabulaire. Et pour faire tout un texte ça me prendrait des heures voir plusieur jours, et ça serait pas drôle.

Gasp s'il pouvait effectivement y avoir une Sainte Bible du Jeu Video...Tu ne kseras point...Tu n'envieras point le matos de ton voisin...
L'allusion à Star Wars dans la dernière case me semble évidente. Tu confirmes, Shiel?

Quant à moi, je vous propose aujourd'hui de suivre les aventures de Roger: d'autres viendront en cas de succès (je vais pas me décarcasser pour rien quand même).

Dieu existe, mais pas pour tout le monde.

L'énorme masse verdâtre traversa l'espace et tomba sans un bruit sur la plaine, écrasant au passage un bon millier de créatures. Le petit million qui restait ne s'en soucia guère : cette manne céleste que Dieu daignait envoyer de temps à autres, signifiait l'espoir de réchapper à la famine pour quelques jour au moins. Mais attention ! Il n'y en aurait pas pour tout le monde ! Des hordes invraisemblables se ruèrent aussitôt vers la masse inerte, prêtes à tout pour un peu de nourriture. Dans cette bataille, les plus faibles n'avait aucune chance, piétinés sans vergogne avant même d'avoir atteint les abords de la sphère gélatineuse. C'était un véritable carnage, une lutte sans merci pour la survie dans cet univers désolé et aride, dominée par un Dieu parcimonieux et inconstant.

Là-haut, Roger lisait son journal tout en roulant distraitement entre ses doigts une deuxième crotte de nez, qu'il s'apprêtait à balancer sur le plancher d'une innocente pichenette.


La force de l'habitude.

Roger avait pris l'habitude de rendre visite à sa mère tous les mardis, à quatorze heure précises. Il aimait les choses régulières, immuables, rassurantes. Il retirait un certain réconfort à retrouver ainsi sa mère, immanquablement installée devant la télévision qui diffusait l'inspecteur Derrick. C'était sa série préférée, et il n'y avait pas moyen de détourner ne serait-ce qu'un instant son attention du poste. C'était ainsi depuis des années, et pourtant cette indifférence ne gênait pas Roger. A vrai dire, ça l'arrangeait plutôt. Pas de conversation à tenir sur la météo ou ce genre de choses. Et puis il n'avait plus rien à dire à sa mère depuis une éternité. Il se contentait de s'asseoir sur une chaise et d'attendre. Lorsque le générique de la série retentissait, il sortait de sa torpeur, saluait sa mère sans même l'embrasser, et rentrait chez lui. Il avait tenu son rôle de fils. Ce qu'elle pouvait bien ressentir ne le préoccupait pas le moins du monde.
Ca n'aurait du reste pas servi à grand chose: elle était morte d'une attaque la semaine précédente, en plein journal de 20 heures.


Un séducteur hors classe.

Roger aimait traîner dans le rayon " couches culottes " du supermarché. Non pas que la puériculture fut chez lui une passion. Il n'aimait pas les enfants, et tout particulièrement les nourrissons, qu'il accusait de pousser des cris inhumains sans justification valable.
En fait, Roger guettait la mère célibataire esseulée, fraîchement délaissée par un mari indigne, perdue dans la jungle immense et sans merci de la grande consommation. Une fois identifiée, Roger fondait sur sa proie. Doué d'une force de persuasion sans pareil, il arrivait à la convaincre de le laisser payer la note, puis de porter les sacs jusqu'à la voiture, de ranger les courses dans le coffre.
Parfois, lorsque le véhicule s'en allait, un bras passait par la vitre baissée, en un signe d'adieu de remerciement confondu. Et Roger souriait, tout en se disant que, décidément, quelque chose lui échappait encore dans cette histoire.

P.S: l'Encyclopédie est ouverte à tout le monde. Pas besoin d'un grand talent mes chéris! A vos plumes! (merci pour la pluie de compliments néanmoins, je fais de mon mieux )

Une exclu ! Et oui on a fait un échange de photos avec Darth, et vu qu'elle a mis la "mienne" je vais pas me gêner pour mettre la sienne !
Attention les yeux, ça pique !

Je confirme Darth même si, honte a toi, tu n'as pas l'air de connaître ethan. Ethan et comme toi ou moi... si dès la naissance nos neurones avaient grillé devant un matraquage video-ludique pour terminé par une over-win-dos(e). Bref, cet amoureux de Microsoft et autre -soft, hante depuis quelques années la toile de ces aventures plus débiles les unes que les autres, au grand dam de ces compagnons.

Après avoir tranformé sa Xbox en un robot, trouvé une copine aussi geek que lui (après une superbe lan romantique même si les choses avaient commencé de manière un peu "speciales" : ici ), et même créé le Winter-een-mas, la période de fête réservé aux gamers... il s'est mit en tête de ramener les joueurs sur le droit chemin, afin qu'ils retrouvent leur foi pour les dieux du jeux-video ( "Tu n'acheteras de strategy guide qu'en cas d'ultime nécéssité" etc...)

Bref, comme je l'ai dit : pas toujours fantastique mais divertissant.

----

Cicis, pas besoin de faire de grands monologues (comme moi) pour être drôle (exemple : moi ). Maintenant excuse moi... mais je vais devoir passer le reste de ma journée a jouer pour oublier l'image que tu viens de me montrer !

Shiel a écrit:

Je confirme Darth même si, honte a toi, tu n'as pas l'air de connaître ethan. Ethan et comme toi ou moi... si dès la naissance nos neurones avaient grillé devant un matraquage video-ludique pour terminé par une over-win-dos(e). Bref, cet amoureux de Microsoft et autre -soft, hante depuis quelques années la toile de ces aventures plus débiles les unes que les autres, au grand dam de ces compagnons.

Après avoir tranformé sa Xbox en un robot, trouvé une copine aussi geek que lui (après une superbe lan romantique même si les choses avaient commencé de manière un peu "speciales" : ici ), et même créé le Winter-een-mas, la période de fête réservé aux gamers... il s'est mit en tête de ramener les joueurs sur le droit chemin, afin qu'ils retrouvent leur foi pour les dieux du jeux-video ( "Tu n'acheteras de strategy guide qu'en cas d'ultime nécéssité" etc...)

Bref, comme je l'ai dit : pas toujours fantastique mais divertissant.

----

Cicis, pas besoin de faire de grands monologues (comme moi) pour être drôle (exemple : moi ). Maintenant excuse moi... mais je vais devoir passer le reste de ma journée a jouer pour oublier l'image que tu viens de me montrer !

J'aime ces aperçus de culture webienne...C'est une pure satyre du geek moyen! Quant à la photo, eh oui c'est bien moi et je baise super bien. Alors, heureux?
A propos, j'ai remixé l'encyclopédie. L'Encyclopédie du Savoir en Vrac se propose désormais d'éditer aussi bien des articles intéressants et cérébraux que complètement ramassés niveau intellect. Voilà qui devrait susciter de l'inspiration pour ceux dont l'humour aurait du mal à décoller.

Pour ma part, je soumets ici le second article de la journée:


LA BROUETTE: NATURE, FONCTION, ETYMOLOGIE, SEXUALITE



(En anglais "Wheelbarrow")

Qu'est-ce q'une brouette ?

La brouette est un petit tombereau « à bras » (à énergie humaine). C'est l'outil ergonomique pour le transport de matériaux ou d'outils sur des terrains qui peuvent être accidentés mais nécessairement peu inclinés. Incontournable sur les chantiers, dans les fermes, ou dans les jardins, elle facilite le déplacement de charges qui peuvent être lourdes ou simplement encombrantes. Le principe du levier associé à la position du centre de gravité vers l'aplomb du point d'appui (la roue), lui confère une réelle efficacité.

La brouette se compose de cinq sous-ensembles :

1. le châssis : constitué de deux brancards solidarisés, fonction support de l'ensemble ;
2. les poignées : fonction préhension, commande et transmission de l'énergie : c'est l'interface utilisateur
3. le porte-charge : contenant du transportable, c'est la fonction outil (on appelle fonction outil la fonction du sous-ensemble qui en dernière analyse assure la fonction de l'ensemble), réalisée par un simple plateau plus ou moins équipé de parois, une benne (nommée caisse, cuve, coffre, etc.) ou un équipement spécifique ;
4. le système roulant : permet le déplacement par roulement (frottements minimum) en supportant une partie de la charge ;
5. le pied (paire ou barre) : assure avec la roue, une base polygonale d'appui stable, pour les périodes d'utilisations statiques (chargement, par exemple).

(A noter : c'est aussi une position sexuelle)

D'où vient la brouette ?

Étymologiquement, une brouette est un véhicule à deux roues. Le terme, qui apparaît au XIVe siècle, serait un diminutif de beroue, lui-même venant du bas latin birota, véhicule à deux roues.[1]

L'engin serait une invention chinoise du début de l'ère chrétienne, soit environ dix siècles avant qu'elle ne fasse son apparition en Europe.

Où va la brouette ?

Dans Ton Cul !

Si si, regardez :


La (ou le) partenaire est appuyée sur les mains ou les avant-bras tandis que l'homme la soulève par les jambes. La partenaire pourra entourer la taille de l'homme de ses jambes pour l'aider à tenir la position.



* * *


Merci et à bientôt !